🎨 Et si les données pouvaient être traduites en peinture, en couleurs, en émotions ? Lors des Swiss CommUNITY Days on Data 2024 au Zentrum Paul Klee à Berne, j’ai eu l’occasion de participer à un atelier passionnant : « À partir des données sur Klee jusqu’à l’image ».
🖌️ Pas d’écrans ni d’algorithmes: juste des pinceaux, des matériaux tangibles, et une approche inspirée de Paul Klee pour transformer la froideur des chiffres en une œuvre collective.
💡 Pourquoi c’est fascinant ?
Parce que cette démarche nous rappelle que les données ne sont pas qu’une suite froide de chiffres ou de graphiques interactifs. Elles peuvent devenir matière à ✨réflexion, ✨émotion, et même ✨méditation.
⚙️ Au-delà du résultat final, ce qui m’a marquée ? Le processus.
🔹Un défi créatif : Sortir du cadre habituel, où tout est rationalisé et mesuré, pour se laisser guider par l’imprévu.
🔹Lâcher-Prise : Accepter que l’œuvre ne soit pas parfaite, mais qu’elle raconte une histoire.
🔹Une méditation collective : Transformer la complexité des données en un moment de recentrage et d’exploration ludique.
Cette expérience nous a montré qu’il reste une place précieuse pour l’humain : ✨son imagination, ✨son intuition, et ✨sa capacité à ressentir les données, en plus de les analyser.
📊 Et si on repensait la communication des données ?
Cette expérience illustre une tendance : la nécessité d’une communication qui combine l’analytique au sensoriel. Comme l’a prouvé l’œuvre finale de notre atelier, non seulement les données peuvent être interprétées de manière poétique mais je suis convaincue que 🎨 le dialogue entre art et science est aujourd’hui essentiel pour réaffirmer la place centrale de l’être humain 🎨.
Bravo aux artistes : Muriel Meister-Gampert, Anouk Fischer, Jonas Bieri , René Koch, Michael Luggen, Franz Brühlart (modérateur) et un grand merci à Alex Lavrynets pour les belles photos !


